Qui est prioritaire pour une place en crèche ?

Comme la règle veut que les mères conservent leur emploi, les familles nombreuses sont généralement privilégiées pour le logement. En raison de cette politique, de nombreux parents de trois enfants cessent de travailler. Les parents de doubles, voire de triplés, sont privilégiés.

Ceux qui se trouvent dans la ville

Le nombre de crèches à Paris est de 38 pour 100 enfants de moins de trois ans, ce qui est bien supérieur à la moyenne nationale de 16. Les zones rurales sont défavorisées par les disparités territoriales qui pénalisent les mamans, pour en savoir plus faites un tour sur ce site !

Beaucoup restent à la maison et paient une assistante maternelle pour s’occuper de leurs enfants au lieu de retourner travailler jusqu’à ce qu’ils soient en maternelle. Cela est dû, en partie, à des facteurs économiques, car les crèches sont généralement construites dans les zones où les femmes travaillent, comme les mégapoles. En outre, le coût d’une crèche peut être assez écrasant pour les petites communautés.

Les bébés qui sont nés en début de l’année

C’est une cause d’inégalité qu’il faut prendre en compte. Les bébés nés entre janvier et avril ont plus de chances d’avoir accès à une crèche car le mois de septembre voit le départ d’un tiers des centres en raison des inscriptions en maternelle.

Lors de la rentrée scolaire, les parents accumulent fréquemment de nombreuses absences excusées en attendant d’inscrire leurs enfants à la crèche. Peu de municipalités procèdent à des commissions d’attribution des crèches tout au long de l’année ; elles le font généralement deux ou trois fois par an.

Les bébés provenant d’une famille nombreuse

Les jumeaux et les triplés sont plus susceptibles d’être envoyés à la crèche que les autres enfants. La position des frères et sœurs joue également un rôle, puisque le troisième enfant a plus de chances d’obtenir une place que le premier ou le deuxième. Cela est probablement dû à la volonté d’aider les mères à conserver leur emploi. Lorsqu’une femme a son troisième enfant, 55 % d’entre elles cessent de travailler pendant au moins un mois.

Alors que la monoparentalité est censée être une condition préalable pour recevoir une place en crèche, les enfants issus de ces familles ne sont finalement pas privilégiés. Ils ont tout autant de chances que les autres bambins d’y être acceptés. C’est peut-être parce que les mères célibataires sont moins actives pour demander ce type d’accueil puisque la crèche n’est ouverte qu’à certaines heures ou parce qu’elles n’hébergent pas les enfants malades.

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Les bébés des femmes actives

Contrairement à la croyance populaire, il n’est pas nécessaire d’avoir un emploi pour fréquenter la crèche. En fait, les parents sans emploi sont surreprésentés parmi ceux qui s’inscrivent au Graal. Car lorsqu’une mère est au chômage, elle ne perd pas la place en crèche de son enfant. En outre, certaines villes aident les travailleurs défavorisés qui cherchent un emploi à long terme en leur fournissant une assistance.

Les enfants ayant comme parents des étrangers

Selon le recensement de 2016, 70 % des enfants accueillis dans les crèches sont originaires de pays étrangers. Bien qu’aucun critère spécifique ne soit énoncé, la mixité des origines migratoires semble être privilégiée parmi les structures d’accueil collectif des jeunes enfants. La proportion d’enfants de mères étrangères inscrits dans les crèches est plus importante que celle des parents français. Cela s’explique sans doute par la volonté de ces mamans et des directrices de crèches de donner à leurs enfants un environnement francophone.

Les enfants des fonctionnaires

Les retraités seront plus nombreux que les nouveau-nés des travailleurs du secteur privé qui seront hébergés dans ces installations. Cela peut être attribué à la forte concentration de crèches dans le secteur de la santé.

Comment faire quand on ne trouve pas de mode de garde ?

Plusieurs options s’offrent à vous : créer une crèche au bureau, financer quelques berceaux dans des crèches locales inter-bureaux, développer le télétravail avec les travailleurs, ou mettre en place un système de garde d’urgence.

Dans une crèche privée, les horaires sont généralement plus longs que dans une crèche municipale. Le choix d’une crèche présente certains avantages ! Les horaires de la nounou sont souvent plus souples, et l’assistante maternelle s’adapte à l’emploi du temps de la famille.

Combien coûte la location d’une crèche pour un mois ? Le tarif d’une crèche varie de 0,15 euro par heure à 3,72 euros par heure. Pour savoir combien coûte une crèche par mois, vous devez multiplier le tarif horaire par le nombre d’heures et de jours nécessaires.

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